Journée Internationale du Blog

Tout à commencé par une passion, une envie de parler, se faire entendre et faire entendre ma voix ‘ et donc, j’ai décidé «d’écrire pour exister»

© Photo Arouna Sissoko

Je me suis investie dans ce projet, après avoir dépassé beaucoup de souffrances et après avoir suivi plusieurs formations. C’est en Septembre 2016 que j’ai créé mon blog, vous comprendrez donc que mon petit enfant aura 2 années dans quelques jours.

Le « Blog » est une contraction de Web-log, qui signifie « carnet de bord sur le Web », apparu en 1999 aux États-Unis.

Si je blogue c’est parce que le blogging est un espace de rencontre, de réflexion, d’expression et d’engagement pour les jeunes..
Si je blogue c’est parce que le blogging constitue un outil de prise de conscience…!

Le blogging m’offre une façon unique de me connaître. Ma manière d’écrire exige que je partage tout le temps avec mes lecteurs mes expériences personnelles et des éléments de mon for intérieur ,
Cet exercice de sincérité, de franchise, d’ouverture et de transparence dans mes écrits me renseigne encore plus sur ma personnalité, mes aspirations et idéologies ,
Cette introspection m’aide à progresser dans la vie. Je pense aussi que de cette manière la lecture est beaucoup plus captivante et j’influence le lecteur plus facilement,

J’espère ainsi, à chaque rédaction, inspirer quelqu’un, avec une partie de ma vie, à devenir une meilleure personne.

En effet, de façon globale, c’est ce pouvoir de changer et d’influencer que possède le blogging. Surtout avec le développement et l’expansion de l’internet. De plus, il offre plus de liberté et d’accessibilité que les autres canaux d’expression et de vulgarisation comme les journaux, les radios. Cependant, nous devons faire attention pour que le blogging ne fasse pas objet d’arme à doubles tranchants dans le monde.

Nous devons rester vigilent pour qu’il ne soit jamais un moyen de destruction mais plutôt un catalyseur de progrès.

#JournéeMondialeDuBlog

Ne force jamais rien, donne le meilleur de toi même et laisse faire les choses

Si ça doit être ce sera , et si vous devez forcer, c’est que ce n’est pas votre taille de bague, de chaussures, ni de relations…

Si vous devez forcer, c’est que ce n’est pas votre taille : cette affirmation est valide pour les choses de la vie, que ce soit les vêtements, ou les relations etc.

Aujourd’hui je crois apercevoir ce que le mot Aimer signifie. Comment l’Amour transfigure ceux qui le portent et ceux qui savent le recevoir. Oui, j’ai reçu une leçon d’Amour. Il faut tout une vie sans doute pour apprendre à aimer, comme cela, sans condition. Aimer, c’est voir le meilleur en chacun, c’est pouvoir trouver l’espérance au-delà des vicissitudes de la vie.

Aimer, c’est sourire et se laisser porter, c’est dépasser ce qui nous blesse. C’est accueillir l’autre tel qu’il est et lâcher-prise. Aimer, c’est garder la foi, quoi qu’il nous arrive. On ne peut rien contre l’Amour. Si vous aimez, vous êtes invulnérable.

La plupart des lecteurs comprendront la métaphore : on voit un vêtement que l’on adore, puis on entre dans le magasin pour demander notre taille et on nous dit qu’elle n’existe plus. Alors, nous demandons une taille plus grande ou plus petite, sait-on jamais…


C.photo Oracoespoderosas.info

Souvent, nous nous entêtons dans quelque chose qui ne nous convient pas et nous ne nous rendons pas compte que cela nous fait plus de mal qu’autre chose.
L’inertie, les messages nocifs que la société nous envoie, les attentes, les opportunités…

Tout cela, traduit dans une relation dysfonctionnelle ne peut avoir qu’un résultat : la douleur.

Ce qui provoque cela est le manque d’amour, mais pas n’importe quel type d’amour: l’amour propre en particulier.

C’est un véritable triomphe d’oser laisser de côté nos espoirs et d’ouvrir les yeux pour nous rendre compte que les bons sentiments ne sont jamais accompagnés de soumission.

L’amour ne se mendie pas : si on ne vous aime pas, n’implorez pas
L’amour ne se mendie pas ni se supplie. Si on ne nous aime pas, s’entêter est un suicide émotionnel assuré. Nous ne pouvons pas attendre un miracle ni demander à l’amour de surgir tout d’un coup.

Nous ne pouvons encore moins maintenir ces attentes au prix de notre santé émotionnelle et de notre liberté.

Notre éducation est la cause de tout cela. Par exemple, nous sommes fatigués de voir, encore et encore, à la télévision, des histoires de dépendance et où les relations auraient toujours la capacité de surmonter n’importe quel obstacle.

Mais une relation qui étouffe et qui fait mal nous empêche de grandir et opprime notre capacité de respirer librement. C’est comme si nous étions en train de nous noyer et que nous avions besoin de sortir de l’eau.

Toutefois, il est vrai que sortir d’une relation tortueuse n’est pas facile et fait très peur.

Cicatriser les blessures qui ont généré une relation forcée!

Il y a une très belle histoire, en lien avec les perles, qui nous aide à illustrer la façon dont nous pouvons guérir correctement les blessures qui proviennent d’une relation d’amour ou d’amitié forcée. Voyons cela ensemble…

La première chose à savoir, c’est qu’une huître qui n’a pas été blessée d’une certaine manière ne produit pas de perle car la perle est une blessure cicatrisée.

Les perles sont les produits de la douleur, le résultat de l’entrée d’une substance étrangère et indésirable à l’intérieur de l’huître, comme un parasite ou un grain de sable.

Dans la partie intérieure de l’huître, on trouve une substance brillante appelée la nacre.

Quand un grain de sable y pénètre, les cellules de la nacre commencent à le travailler et le recouvrent avec plusieurs couches, pour protéger le corps sans défense de l’huître. Le résultat, c’est une jolie perle !

À présent, nous pouvons penser à la métaphore avec les relations. Cicatriser les blessures n’est pas quelque chose de simple mais c’est le seul chemin qui nous aidera à refermer une étape douloureuse dans notre vie.

Le monde s’écroule, nous touchons le fond, nous n’arriverons jamais à stabiliser notre vie sans cette personne ou ce groupe de relation…Toutes ces sensations sont normales dans les situations d’adversité émotionnelle.

Mais cette même “fragilité” qui nous fait si peur peut être utilisée pour nous renforcer. Pour illustrer cela, nous allons utiliser la technique appelée Kintsugi que les Japonais prennent pour réparer des morceaux brisés.

Elle consiste à recomposer des morceaux de pièces de céramique cassés avec de l’or, de manière à ce qu’elles deviennent des pièces encore plus belles et fortes.


C.photo Oracoespoderosas.info

Si nous nous aidons de la sagesse orientale pour comprendre cela, nous comprendrons que ce qui nous a fait souffrir nous apporte aussi de la valeur .

Et plus encore, la beauté de notre fracture dépendra de la manière dont nous la vivons à l’intérieur et comment nous travaillerons notre douleur.

Une fois cela compris, il est bon de se mettre à l’œuvre et de réparer les déchirures de nos vêtements avec de l’or, d’accepter le besoin de refermer des cercles, de dire Adieu et de ne pas se compliquer la vie à essayer encore et encore de porter une robe dans laquelle on n’entre plus.

Essayer de refaire un livre avec une histoire qui n’a pas d’avenir, c’est nous trahir nous-même. C’est pour cela que nous devons être conscient qu’une blessure ne se guérit pas si l’on s’y frotte constamment.

Il est possible qu’il reste des cicatrices, évidemment, mais nous pourrons toujours les arborer avec orgueil, et surtout avec une liberté totale, sans que rien ne nous étouffe.

Bloguer utile est mon nouvel objectif

Cela fait bien longtemps que je ne me suis pas connecté sur le blog et je m’y engage ce 22 Mai un choix qui n’est pas fortuit.

Je vous remercie tous pour vos commentaires , pour le nombre incroyable de visite!

Je vous écris fin de vous donner quelques nouvelles et de vous prévenir de quelques changements.

Il m’a fallu quelques mois pour rendre compte que j’ai à présent besoin d’écrire. Donc me revoilà.

©Photo : Zoua MAIGA

Un ami m’avait alerté sur le caractère irréversible de dire que j’arrêtais d’écrire et du ridicule que ça pourrait engendrer si je me remettais à le faire. Aucun regret, aucune honte pour moi. Se sentir ridicule d’être soi-même, pas pour moi. J’accepte mes défauts, mes erreurs et je les regarde bien en face pour les combattre.

© Photo : Ousmane Traoré

Je n’avais pas besoin d’une pause, j’arrêtais d’écrire, vraiment. Ça m’a permis de me regarder dans le miroir et voici le bilan :

  • Bloguer ne me convient plus, bloguer utile est mon nouvel objectif. C’est en cours ,
  • Écrire est devenu un besoin. Ce n’était pas prévu au programme mais c’est ainsi. Je l’ai compris et aujourd’hui je l’accepte, Ironiquement je n’écrivais pas, j’avais la flemme mais je pensais beaucoup. En revanche publier en tant qu’objectif me force à écrire
  • Publier est un objectif. Cela m’oblige à réfléchir, prendre du recul, ça me force à écrire et à me confronter à mes idées et aux idées des autres ,
  • Monter sur le ring j’en ai horreur mais ça muscle mes réflexions, mes réflexes, ça m’entraîne ,
  • J’ai identifié les points qui consomment le plus de mon temps, c’est le sujet du prochain article qui sera disponible ce soir,
  • Je m’assois généreusement sur les points qui me posent encore de gros problèmes, je peux vivre avec certains mais pas avec d’autres. Je vais la jouer intelligemment, un pas après l’autre. Si je regarde au loin, je ne vois aucune solution. Si je me cantonne à un pas après l’autre, j’avance et je verrai à chaque pas si une solution se profile à l’horizon (enfin) ,
  • Trop plein. Trop de pensées, trop de réflexions, il faut que ça sorte. Comment le dire autrement ? L’acte d’écrire permet de se focaliser sur un sujet précis, l’acte de publier m’oblige à argumenter, justifier, sourcer, interroger.
    Je ne publie pas pour mon égo, j’écris pour moi et je publie pour vous. Une différence essentielle
  • J’ai noté un besoin pour mon équilibre personnel : Du temps, de la solitude et du silence. J’ai besoin de m’entendre penser ,
  • J’ai pris conscience qu’en écrivant, je me reconnecte avec moi-même. Ça fait sens. Je progresse, je me vois. Il me semble qu’une réflexion censée, c’est de s’occuper de soi-même. Dans ce monde de fous qui tourne beaucoup trop vite pour n’importe quel être, j’ai trouvé le moyen de ralentir le temps, MON temps ,
  • Je sais depuis longtemps que mes articles sont des souvenirs, des clichés instantanés de qui j’étais, comment je pensais et à quoi. Ousmane Makaveli au détour d’une journée de formation me rappelait la chance que nous avions de pouvoir contempler le chemin parcouru en relisant nos articles. Je ne lutte pas contre la mort, je lutte contre l’oubli. Je retiens mes souvenirs ,

© Photo : Lalaicha MAIGA

  • Le focus que provoque l’acte d’écrire, comme une bulle de pensées, permet de s’évader, de se libérer des tracas journaliers et finalement de se concentrer sur l’essentiel ,
  • L’ironie d’être enchaînée à l’écriture, c’est que l’écriture me libère. Je connais mieux mes dépendances à présent, j’identifie mieux mes chaînes, ça me permettra d’atteindre plus facilement l’autonomie .

Préserver sa vie personnelle. Comment bien vivre en horaires décalés ? — limonasblog

Difficile de vivre avec un rythme de travail différent de la plupart des gens ! Pourtant, avec une bonne organisation, on peut trouver des aménagements et tirer avantage de la situation. De plus en plus de salariés ont des horaires atypiques qui peuvent, en supplément. être variables d’une semaine à l’autre: certains travaillent en trois-huit, […]

via Préserver sa vie personnelle. Comment bien vivre en horaires décalés ? — limonasblog

La voix de Lalaicha fête son anniversaire 

Je suis de retour après plusieurs mois d’absence et tout d’abord je tiens à m’en excuser et surtout à vous dire UN GRAND MERCI. Vous êtes de plus en plus nombreux à me lire et à aimer mon blog. Cela me fait chaud au cœur car je reviens avec de nouveaux projets sur la VOIX DE LALAICHA.

En effet c’était un grand temps d’absence et pour des contraintes personnelles il fallait que je m’éloigne pendant un temps de l’écriture, et réseaux sociaux aussi pour pouvoir me concentrer sur un objectif fixé afin de l’atteindre.

Cela dit, ce fut une raison suffisante pour ne pas pouvoir publier cet article célébrant l’anniversaire de mon enfant que j’ai porté pendant douze (12) longs mois , OUI il a une année de plus et commence à prendre de l’âge avec le temps : septembre 2016 – septembre 2017.

Je dois dire que vous m’avez beaucoup manqué. J’aime transmettre à des personnes aussi ouvertes d’esprit que vous tous et cela sans exception. Je suis extrêmement reconnaissante de l’intérêt toujours grandissant que vous portez à ce que je vous propose, car je reçois des dizaines de mails et de commentaires hyper positifs et d’encouragements de personnes qui me disent à quel point ce que je donne, mes écrits, les ont aidés dans leur vie. C’est à chaque fois un baume au cœur, un réconfort de savoir cela. Alors encore MERCI à vous qui me donnez envie de continuer. Il y a eu des changements dans ma vie. Des changements d’ordre professionnel, amical, sentimental et matériel.

Pendant cette période d’action, je n’ai pas eu un seul instant à moi et  j’avoue que, même si être dans un tourbillon d’énergie est agréable, cela peut être aussi très frustrant ! Car, comme vous le savez déjà, ce blog est mon « bébé ». Je l’ai créé pour transmettre ma passion, pour apporter mon expérience, m’exprimer aussi et pourquoi pas, à terme, en vivre. Je l’ai créé pour moi mais aussi pour vous, mes chers lecteurs. Et ne pas pouvoir y consacrer du temps n’a pas été évident…

Mais je compte bien reprendre en main tout ceci ! Je ne peux pas vous promettre que je vais être ici chaque jour ou chaque semaine même si j’en ai vraiment l’intention. Car parfois, même avec la meilleure volonté du monde, la vie, l’action, les responsabilités nous rattrapent…mais je vous promets de faire de mon mieux. Mon souhait est de publier un article par semaine ou quinzaine tout au plus, et je vais essayer de tenir cet engagement. J’ai tellement de choses encore à vous transmettre !!!

Pendant cette absence, j’ai continué à être mon propre terrain d’expérimentation, à être toujours l’observatrice des attitudes intérieures qui fonctionnent pour favoriser l’harmonie et l’évolution, j’ai continué à méditer chaque matin, à faire des exercices de respiration pour me connecter à moi-même et me centrer, à développer mon intuition, à lâcher prise chaque jour un peu plus, à écrire et à lire, souvent le soir, des livres intéressants, très inspirants, et révélateurs parfois !

J’ai utilisé chaque seconde car je n’ai pas de temps à perdre car la vie est une aventure passionnante !

Je voudrais expliquer quelque chose à tous ceux qui se méprennent sur le développement personnel. Quand on fait du développement personnel sur soi-même et qu’on le transmet aux autres, cela ne veut pas dire qu’on est parfait !

JE NE SUIS PAS PARFAITE, d’ailleurs un article précédent rédigé porte le nom cité.

Je peux m’énerver ou je pleurer comme tout le monde, il m’arrive parfois d’être en colère ou pas au meilleur de ma forme !

Justement, une des bases du développement personnel est d’accepter son imperfection. Nous avons tous des qualités et des défauts. Tous sans exception. La différence c’est qu’aujourd’hui je sais qui je suis,  je me connais, j’ai confiance en moi, je suis moi-même en toute circonstance, je m’affirme, j’ai des outils et des ressources intérieures pour me sortir rapidement de situations qui auraient pu, par le passé, me laisser à terre plusieurs mois. La différence c’est que je m’aime telle que je suis,  et quand quelqu’un me dénigre, me juge ou me tire vers le bas, certes ce n’est pas très agréable, plutôt injuste et méchant, mais je ne remets pas toute ma personne en question. Cela me bouscule quelques temps et je reviens en mon centre.

C’est bien sûr ce que je vous invite à faire également et je suis heureuse de vous accompagner sur ce chemin.

Petit rappel…

D’autre part, je voudrais vous dire, mes chers lecteurs, mais aussi, vous l’aurez compris, à mes détracteurs,  qu’il m’a fallu du courage pour m’exposer dans ce blog, et cela m’a pris plusieurs années de travail sur moi avant que j’ai ce sentiment de légitimité, ce sentiment d’avoir suffisamment grandie et changée, d’être suffisamment heureuse moi-même pour pouvoir communiquer aux autres ce que j’avais mis tant d’années à apprendre et à appliquer intérieurement et dans ma vie.

Comme vous le savez certainement ce blog je l’ai créé de A à Z avec des personnes passionnées de blogging et qui dans l’ombre m’aident et me soutiennent à chaque instant: l’installation, l’hébergement, les mises à jour, les sauvegardes, l’installation des plugins, les icônes, les photos, les articles bien sûr, le contenu, les intégrations HTML, le cadeau que j’offre à mes abonnés ainsi que la technique concernant le logiciel que j’utilise pour les inscriptions … et j’en passe. J’avais déjà quelques compétences dans ce domaine, mais, dans toute chose il faut avoir des mentors et des personnes qui peuvent nous soutenir.

Je me suis investie dans ce projet, après avoir dépassé beaucoup de souffrances et après avoir suivi plusieurs formations. C’est en Septembre 2016 que j’ai créé mon premier blog, vous comprendrez donc que mon petit enfant a 1 an maintenant. J’ai aussi investi de l’argent dans ce petit bébé… et pour l’instant ce blog ne me rapporte pas encore d’argent.

Tout cela pour expliquer que ce blog reflète une vraie passion ! D’autre part, Internet est un lieu de libre expression et des blogs de développement personnel, il y en a beaucoup, je ne suis pas la seule, donc si on s’en prend à mon blog, il faudrait s’en prendre également à tous ceux (et ils sont des milliers sur Internet) qui parlent de développement personnel !

Pour vous, mes lecteurs

Voilà, je vais quand même terminer par une note très positive. Voici le 1er texte que j’ai publié sur le tout premier blog que j’ai fait :

‘‘Écrire pour s’exprimer ’’vous pouvez retrouver l’article sur mon blog !!

Alors, venez nombreux me lire chaque jour et que mes paroles éclairent votre chemin !

Aujourd’hui, nous sommes en 2017 et je mesure le chemin parcouru. Cependant, même si je n’ai pas encore atteint mes rêves, j’y travaille chaque jour, tout en vous accompagnant également sur votre propre chemin. J’ai des objectifs, certes, mais tout en les gardant à l’esprit, je veux également vivre et profiter du moment présent.

Je vous invite également à ne pas être trop pressés, à ne pas passer à côté de votre vie, car trop focalisés sur vos objectifs, ou sévères avec vous-même en pensant que vous n’avancez pas assez vite. Mesurez chaque petit caillou apporté à l’édifice et soyez en fiers.

Je vous donne RDV très bientôt pour de nouveaux articles que vous attendez avec impatience !

Entre mariage de raison et mariage d’amour, que choisir ? 

J’ai toujours pensé que les mariages de raison étaient le lot des anciens. Accablées par les traditions, les femmes ont bien souvent épousé des hommes qu’elles connaissaient à peine et pour qui, bien évidemment, elles n’éprouvaient rien. 

Bien que les mariages aient duré, la plupart de ces femmes ont essayé de prendre leur revanche en veillant à ce que leur fille ne vive pas la même chose.

Or aujourd’hui, on s’aperçoit que ce genre de mariage perdure avec quelques nuances près.

En effet, il est des jeunes femmes qui épousent des hommes non pas par dépit mais par résignation bien qu’il y ait eu des échanges entre le futur couple.

Bien souvent, elles prétendent s’en remettre au Tout Puissant parce-que lui seul  sait ce qu’il y a de mieux pour elles. 

Certes, nous ne sommes pas détentrices de notre destin mais les invocations sont là pour nous permettre, quelque part, d’avoir la possibilité de le faire pencher à notre avantage.

Quant aux mariages d’amour, autant dire que c’est ce dont rêvent toutes les damoiselles. 

Mais est-ce si impossible surtout quand on s’attache à certains principes?

 J’affirme haut et fort que OUI, épouser un homme que l’on aime est plus que possible. Bien qu’il y ait des règles à ne pas transgresser, il en existe beaucoup d’autres qui vous permettent d’être une femme épanouie parce qu’amoureuse!

La rencontre peut-être fortuite (en cours, sur votre lieu de travail, les cercles de réflexion…), provoquée (présentation d’un ami par votre frère, votre amie, votre beau-frère) ou directe (un jeune homme vous aura remarqué ou sa maman et ces-derniers viendront tocquer à votre porte). 

Quelque soit le type de rencontre, vous aurez, si vous êtes intéressée, à faire la connaissance de celui qui pourrait bien être celui que le destin aura élu. 

Ainsi, les discussions et les rencontres sont possibles tout en observant certaines conditions qui sont que les deux personnes ne peuvent être seules sauf si elles sont mariées bien sûr (religieusement je veux dire). 

On prendra donc le temps qu’il faudra pour le connaître et finir par l’aimer.

Les mariages de raison peuvent durer mais je ne pense pas que ce soit la meilleure option parce-qu’au final cela vous donne des femmes qui concentrent toute leur affection sur leur enfant et l’étouffe à coup de « je ne vis que pour toi » ou encore « tu es tout ce que j’ai au monde ». 

L’amour est un sentiment qui soude le couple et le maintient. Le Prophète (SAW) aimait ses femmes avec tendresse et elles également. Alors pourquoi se lancer dans réfléchir dans une relation qui, rappelons le, est sensée durer toute une vie ?

Je m’aime voici ce que j’ai dis à mon miroir  

Dans mon précédent article intitulé : Assise face au miroir , j’ai parlé à mon reflet ( que vous trouverez parmi les autres articles du blog),  j’ai mis l’accent sur le bien que cet exercice apportait et les bienfaits que j’en ai tiré. 

Cela dit,  j’ai continué de parler à mon reflet et je sais que je m’aime ! 

Je suis là, face au miroir. Je m’observe et je sens ma présence. Me forcer à me retrouver dans cette position est très difficile pour moi. 

En silence, je m’observe à travers l’image que le miroir me renvoie

Je vois une combinaison de ce qu’il y a de commun et de différent chez tous les êtres humains, mais une personne unique et authentique. C’est comme cela que je suis, c’est comme cela que vous êtes.

Je voyage au plus profond de mon être, pour être enfin sincère avec moi-même et pour me donner l’amour que je ne me suis pas donné.

J’espère que d’autres m’offriront le leur, mais je suis souvent déçu par ceux qui m’entourent car tout ne se déroule pas comme je l’aimerais.

Et cela, Oscar Wilde le disait déjà en son temps : «S’aimer soi-même est le début d’une histoire d’amour qui durera toute une vie » .

Je cherche des moments pour me retrouver seul, pour me dire ce que je n’ai jamais osé me dire :

Je m’aime…

Comme c’est étrange et indescriptible de se dire cela. Mais je continue. Je dois m’y habituer et être plus enthousiaste.

Je m’aime !

Je m’aime car je suis une personne unique et authentique. Il n’y a personne comme moi, de la même manière qu’il n’y a personne comme vous.

Nous avons certainement des choses en commun, mais nous ne sommes pas tous égaux.

Je m’aime, de la même manière que j’aime tout ce qui vient de moi et tout ce que je renferme en mon for intérieur, même si je n’en suis pas toujours consciente.

Je m’aime comme je suis, avec mes qualités et mes défauts, mon potentiel et tout ce que j’ai déjà pu accomplir.

Je m’aime, et cela implique que j’aime tout mon corps, comme il est, avec ses capacités et ses déficits.

J’aime ce que je perçois, ce que j’entends, ce que je ressens, ce que je savoure, ce que je sens.

Je m’aime et je m’accepte, pour pouvoir enfin faire un pas vers une meilleure connaissance de mon être, de la façon la plus sincère et subtile possible.

C’est ce qui me permettra de trouver des solutions à chacun de mes problèmes, avec espoir et courage. J’accepte le monde infini de possibilités que la vie m’offre.

En m’aimant, j’ai appris à voir les crises et les difficultés comme des opportunités, et non comme des voies sans issue.

J’observe ce qui se passe, ce que je pense et ce que je ressens. J’aime ce que tous mes sens ont à m’apprendre et je prends mes responsabilités.

Je m’aime et j’aime mes émotions, ma joie, ma culpabilité, ma tristesse, mes peurs, et tout ce que j’ai pu expérimenter.

Parce que je sais que chacune d’entre elles me dit quelque chose de moi. Mes émotions me permettent toutes de travailler sur moi-même et d’expérimenter ce qu’on appelle l’existence.

Je m’aime et j’aime tous mes rêves, toutes mes illusions, tous mes espoirs et tous mes objectifs. Je suis consciente qu’ils forment un tout, une partie intégrante de mon âme.

J’aime mes succès, mais aussi mes erreurs. Je n’aurais peut-être pas pu les éviter, à cause de ma construction personnelle, mais je dois toujours chercher des alternatives face à des situations qui le demandent.

Je m’aime, et c’est pour cette raison que je ne me compare pas, car cela ne sert à rien.

Il est inutile de comparer des personnes et des situations, car je n’ai pas vécu ce que vous avez traversé, et inversement.

Toutes les situations sont différentes. Chacun les vit depuis sa propre expérience.

Je m’aime, même si je sais qu’il y a des parties de moi que je ne connais pas, mais je suis prête à les découvrir et à les construire.

Je m’aime de la manière la plus sincère et la plus réelle qui soit, de façon inconditionnelle. Et c’est dans cet amour que je puise les forces qui me permettent de me pardonner et de profiter de moi-même.

Je m’aime, et quand je m’aime, je peux vous aimer vous, ou lui, ou elle. Je peux aimer le reste du monde.

Oui et oui,  il faut s’aimer et avoir confiance .

​Assise face au miroir, j’ai parlé avec mon reflet

Aujourd’hui, je me suis assise face au miroir, et j’ai parlé avec mon reflet, pour accepter que je ne suis pas parfaite mais que c’est ainsi que je m’aime. 

En me regardant pour la première fois au-delà de mon simple aspect physique et en comprenant que ce que je suis et comment je suis, cela reflète chacune des expériences que j’ai vécues.

Aujourd’hui, j’ai appris que la vie se reflète sur la peau et l’espoir dans les yeux, et même si on dit que les yeux sont le miroir de l’âme, ils sont aussi la porte de l’espoir. 

Peut-être résulte-il compliqué de regarder dans le miroir et de voir non seulement notre apparence physique, mais aussi de voir, au-delà de notre propre reflet, que nous ne sommes pas seulement faites de chair et d’os, mais que nous sommes aussi faites d’expériences, d’espoirs et de rêves.

Nous ne sommes pas faites que de chair et d’os, mais nous sommes aussi ce que nous avons été, et ce que nous serons.

Les rides sont le reflet des préoccupations dans les yeux et les éclats de rire de la bouche. Elles sont le reflet des mots que nous n’avons pas dits et de ceux qui nous ont échappé avec force et que l’on a regretté d’avoir dit. 

Elles sont une part de nous, une part qui nous aide à nous construire, une part qui dit au monde comment nous sommes.

Peut-être que le fait de regarder directement votre âme plutôt que votre aspect, quand vous vous regardez dans le miroir, n’est pas chose aisée. 

Généralement, c’est quelque chose de difficile à faire lorsque l’on ressasse nos erreurs du passé plutôt que de regarder le futur, lorsqu’on s’accroche à ce qu’on a perdu au lieu de valoriser tout ce que l’on a obtenu, lorsqu’on essaie de faire en sorte que notre peau et notre physique soient parfaits, comme si nous étions des poupées en porcelaine sans vie et comme si nous n’avions vécu aucune expérience.

Le passé nous permet d’apprendre des choses.

Nous sommes bien plus que ce que l’on peut voir, nous sommes notre passé, et son reflet parcoure notre peau. Car le passé nous a appris d’où on vient, mais ne détermine pas où on va. Car c’est nous qui dirigeons nos pieds.

Même s’il faut tenir compte du fait que le passé nous permet d’apprendre, il ne faut pas pour autant s’attacher à lui.

Le passé fait partie de ce que nous sommes, mais ne définit pas ce que l’on peut être. Le passé, finalement, c’est la structure, les briques que l’on a construites, mais pas notre intérieur.

N’oubliez pas que nous sommes le reflet de ce que le passé a déterminé, nous sommes ce que nous voulons être demain, et ce pour quoi nous luttons. Et même si nous avons bien conscience de notre passé, nous devons apprendre de nos erreurs et ne pas le laisser guider chacun de nos pas futurs.

Si vous décidez d’abandonner et de laisser votre passé être votre présent, vous serez un simple spectateur de votre vie et vous cesserez de la vivre.

Le futur est un reflet de ce que l’on peut être .

En écoutant mon reflet, en parlant sans peur du futur que je voulais voir au travers du miroir, j’ai compris que l’envie de lutter pour ce que je veux vraiment a plus de valeur que les difficultés du passé dont je proviens. Car souvent, rien ne sert de se concentrer sur la réalité telle qu’elle est, mais sur celle que l’on peut connaître si on met tout en oeuvre pour atteindre les buts que l’on se fixe.

Peut-être mettrons-nous du temps à obtenir le futur que l’on veut, mais seules ceux qui sont patients et qui n’abandonnent pas obtiennent ce qu’ils désirent, aussi grands les objectifs qu’ils se fixent soient-ils. 

Ne pas abandonner face aux difficultés est toujours une qualité, apprendre de ses erreurs, une capacité, et ne pas tomber sous le charme de la pierre qui nous a fait tomber, un signe d’intelligence.

Aujourd’hui, je me suis assise face au miroir et j’ai parlé à mon reflet. J’ai compris que je suis tout ce que j’ai vécu et que je serai tout ce que je veux être. Il ne tient qu’à moi de lutter pour mes rêves et d’apprendre de mes erreurs. 

Finalement, les rêves sont à la portée de celui ou celle qui se connaît au-delà de l’image qu’il projette, car personne n’est parfait, mais tout le monde est en revanche savamment imparfait.

Cela dit,  il faut savoir parler à son reflet et l’écouter le plus souvent possible pour mieux se connaître. 

​Si l’amour vous coupe les ailes, ce n’est pas de l’amour, c’est de la dépendance

Si l’amour vous coupe les ailes, ce n’est pas de l’amour, c’est de la dépendance , aussi bizarre que cela puisse sonner bien, cette affirmation est bien réelle et peut s’avèrer très dangereuse. 

                         Image : Amour 

«Je ne peux pas vivre sans toi» est une phrase que nous entendons toujours dans les chansons, les poèmes ou les conversations. Et que dire de la radio et de la télévision avec leurs séries, leurs mélodrames et leurs espaces destinés au divertissement. Au début, nous ne nous rendons pas compte qu’il s’agit d’une forte déclaration de dépendance.

On parle aussi d’ «âme sœur», de «sans toi je ne suis rien» ou de «avec toi jusqu’à la mort». La réalité crue nous montre, cependant, que derrière de telles preuves d’engagement innocentes, il peut y avoir quelque chose d’autre. Peut-être que c’est là que se trouve, tapi, cet ennemi : la dépendance.

C’est donc la société même qui répète des messages, qui se cachent derrière l’idée de l’amour romantique et qui alimentent cette dépendance émotionnelle. C’est précisément dans ces messages que l’amour perd tout son sens pour se transformer en une lutte silencieuse qui petit à petit, finit par détruire la relation. Et cela n’amène à rien de bon. Jamais.

Savons-nous identifier le moment où nous passons de l’amour à la dépendance ? 

Il est difficile de l’établir, notamment car l’orgueil et la peur de rester seul se chargent de nous mettre un bandeau devant les yeux, qui nous cache la réalité. Mais s’il y a bien un aspect infaillible qui est un signal d’alerte sûr, c’est celui-ci : si vous souffrez dans votre relation mais que vous ne pouvez pas la rompre, vous êtes peut-être sous le joug de la dépendance.

                             Image : Amour

Besoin de contrôler et d’être contrôlé : symptôme de dépendance

Ces personnes vivent accrochées à leur téléphone pour voir à quel moment l’autre se connecte. Et s’il le fait, mais qu’il ne dit pas bonjour immédiatement, les doutes commencent, ainsi que la colère et les conjectures. Pendant ce temps, l’autre ne peut pas répondre car il se trouve au milieu d’une réunion, en cours etc. Peut-être aussi qu’il ne veut pas répondre à ce moment-là, ce qui ne signifie pas qu’il aime moins son partenaire.

C’est pour cela qu’un grand nombre de relations se terminent ou sont confrontées à de terribles problèmes.

Savoir où l’autre est, ce qu’il fait, ce qu’il pense et ce qu’il ne pense pas est une preuve claire de dépendance émotionnelle.

Les réseaux sociaux deviennent des espaces idéaux pour alimenter les malentendus. La lumière qui annonce la présence sur Facebook ou Whatsapp est devenue un doigt accusateur.

Sentir que l’on est pas important pour l’autre personne est aussi une preuve de dépendance. «Que t’arrive-t-il, tu n’es pas jaloux ? Tu te fiches de savoir avec qui je suis ?» Apparemment, on pêche par omission. Ainsi, l’amour, au lieu d’être un moyen de grandir ensemble, montre l’un de ses pires visages et met l’insécurité au premier plan.

Manipulation et dépendance

Il faut sauver la relation, quoi qu’il en coûte. C’est comme s’accrocher à la dernière planche qui flotte dans la mer après un naufrage. Peu importe que la douleur se multiplie. La seule chose qui vaille, c’est de ne pas permettre, sous aucun prétexte que cette personne s’éloigne et empêcher à tout prix la rupture.

Nous ne mangeons plus, nous ne dormons plus. Nos défenses immunitaires diminuent et nous tombons malades. À ce moment-là, nous sommes main dans la main avec la manipulation. Si elle disparaît, cela n’a plus de sens de lutter. «J’ai besoin de toi à mes côtés car je ne suis rien sans toi.»

La personne se sent forcée et même coupable de la situation. Même si elle n’aime plus, elle reste quoi qu’il arrive. Elle ne veut pas porter toute sa vie la responsabilité de provoquer une grande douleur chez l’autre. Elle ne se le pardonnerait pas. À ces niveaux, nous ne pouvons plus parler d’amour. Si la relation se maintient, elle n’est que source de douleur.

Que faire si je souffre de dépendance ?

Comme tout dans la vie, la première étape est de reconnaître que nous sommes face à un problème. Accepter que de cette relation merveilleuse, il ne reste qu’un engagement que nous maintenons uniquement par habitude ou par peur. Il faut affronter la réalité avec décision et courage.

Il est fréquent de tomber dans l’idéalisation de l’autre et de ne pas parvenir à la dépasser, notamment lors des premières phases de l’amour. Il est donc très difficile d’établir de nouvelles relations après une rupture car nous nous consacrons à comparer tous les hommes et les femmes qui ressemblent à notre ex. La dépendance amène avec elle ce rejet de tout ce qui n’est pas idéalisé.

Parler directement et sans ambages est fondamental. Il ne s’agit pas d’imposer notre point de vue et pas non plus de tomber dans la manipulation. L’idéal est d’être sincère, de dire la vérité et de libérer l’autre d’un amour qui n’a plus de vie et qui empoisonne.

Une rupture avec une personne que nous aimons toujours demande forcément un deuil. C’est un sentiment que nous ressentons tous lorsque nous perdons un être cher. Tout d’abord, nous refusons d’accepter que cette personne ne sera plus à nos côtés. Et immédiatement, nous plongeons dans la tristesse en pensant aux souvenirs qui nous tourmentent. Après avoir souffert, nous assimilons la perte : quelque chose fait clic dans notre intérieur et nous sommes prêt à recommencer quelque chose de nouveau.

Cependant,  l’amour reste un bel sentiment et qui fait des merveilles,  malgré son côté sombre qui me peut faire extrêmement mal,  Si l’on ne rencontre pas la bonne personne. 

Sinon vivez votre amour si vous tombez sur cette personne qui vous rend exceptionnelle et vous fait vibrer sans pour autant vouloir tout contrôler.

En amour,  il est important de ne pas s’oublier au profit de l’autre. 

Si tu ne veux pas me perdre comme tu me le dit, prouve le moi! 

Ces personnes qui ne veulent pas vous perdre mais qui ne savent pas prendre soin de vous.

                     Image : Parship

Certaines personnes ne s’inquiètent pas de prendre soin de vous, ne tiennent pas compte de vous, mais ne veulent pas vous perdre pour autant.

Les relations que l’on entretient avec elles sont fondées sur l’ego d’une personnalité co-dépendante, qui exige et dénature une chose aussi noble que l’affection.

La peur que l’être aimé s’éloigne de nous implique avant tout un manque de confiance et, parfois, cela peut aller jusqu’à la dangereuse idée de considérer son compagnon/sa compagne comme une possession personnelle.

Toute relation basée sur une forme de crainte génère, inévitablement, une grande souffrance.

Certaines personnes ne savent pas comment prendre soin de vous et ne pressentent pas votre tristesse ; si elles ne tiennent pas compte de vous, alors tenez compte de vous-même. Ecoutez votre coeur, et occupez-vous de vous.

Aussi étrange que cela puisse nous paraître, il existe de nombreux couples qui maintiennent ce type de relation, et ce pendant plusieurs années.

Le co-dépendant dominateur vit l’engagement comme un type d’addiction. Derrière ce besoin de domination se cache un manque de confiance en soi, au sein duquel il doit déployer des stratégies et des mécanismes de défense afin déclarer l’autre inapte et de pouvoir l’avoir sous son emprise, le contrôler.

L’anxiété que ressent le co-dépendant dominateur est si forte qu’il n’y a plus d’espaces pour soi, mais plus qu’un «micro-monde» en commun chargé de méfiance, de reproches et d’émotions négatives.

Le mot «compatissant» vient du latin «cum-passio» (souffrance partagée). Une personne compatissante a tout à fait conscience de la dépendance de l’autre, de son besoin de contrôler par peur de perdre.

Or, malgré cela, on ne peut pas cesser de l’aimer, de prendre soin d’elle et de la faire passer avant nous-même. Ce sont des relations complexes qui tombent dans un cycle de souffrance très caractéristique.

Prendre soin de vous avant de prendre soin du reste

                      Image: Parship

Aussi bien le besoin de contrôle que la dépendance sont deux éléments inhibiteurs qui favorisent le déséquilibre dans la relation.

Evidemment, comme nous le savons tous, les relations affectives sont complexes. Mais, en réalité, la complexité réside chez les personnes-mêmes, pas dans la relation en tant que telle.

Certaines personnes ont besoin de contrôler, car c’est l’unique conception qu’elles ont de l’amour.

D’autres, au contraire, même si elles aiment avec sincérité, manquent des compétences émotionnelles nécessaires pour savoir démontrer une réciprocité adéquate.

Or, il est important que dans toutes nos relations nous privilégiions «l’excellence» au-delà de «l’exigence». C’est pourquoi il serait préférable de mettre en pratique les stratégies suivantes.

L’amour propre, une relation qui doit durer pour toujours

Vous ne devez jamais oublier de prendre soin de vous, de vous occuper de vous.

Aussi curieux que cela puisse paraître  , sachez que les personnes les plus jeunes ont une moindre estime d’elles-mêmes que celles qui atteignent les 60 ans.

Une bonne estime de soi, la connaissance de soi et une bonne gestion émotionnelle vous permettront de vous rappeler que ceux qui ne tiennent pas compte de vous et qui ne prennent pas soin de vous ne méritent pas votre attention et encore moins votre tristesse.

C’est comme si le temps mettait chaque pièce de notre amour propre à sa place, comme si l’expérience nous sculptait pour arriver à la maturité avec un plus grand aplomb et un meilleur équilibre.

Or, il est essentiel de profiter de chaque cycle, de chaque étape afin de marcher avec un plus grand aplomb et de renforcer ce lien avec soi-même, appelé amour propre.

Oui à une relation émotionnelle constante

Les relations qui fonctionnent et qui nous apportent du bonheur sont matures et conscientes émotionnellement :

Le besoin de contrôle est absent car il n’y a pas de peurs, de craintes, de manques d’assurance ou de volonté de porter atteinte à l’espace personnel de l’être aimé.

Les personnes conscientes et matures partagent leur plénitude, n’apportent pas d’ombres d’égoïsme ni de vides que d’autres doivent remplir.

Il faut prendre soin des relations matures, qui permettent à chacun de tenir compte de son propre développement tout en se sentant libre et en faisant partie d’un projet en commun.

Pour conclure, la sensation que quelqu’un nous contrôle et ne tient pas compte de nous peut aller au-delà des relations de couple ; la famille ou les amis peuvent également avoir le même comportement.

Agissez, défendez votre territoire, prenez soin de vos droits, et surtout, écoutez la voix de votre coeur qui demande le respect ! 

Prendre soin de vous, c’est fondamental. Prenez soin de votre estime de vous-même, car n’est pas égoïste celui qui prend soin de soi.

"Écrire pour s'exprimer "